Cette loi réprime notamment l'abstention d'apporter secours à l'enfant en danger (art. 191 et 193) ainsi que l'abstention de porter des soins à une femme en instance d'accouchement (art.
« Dieu soit loué ! nous n’avons comme tracas que la fille de cuisine qui accouche. Voilà-t-il pas que je rêvais que mon pauvre Octave était ressuscité et qu’il voulait me faire faire une promenade tous les jours ! »