Le Conseil se déclare préoccupé par la situation critique des personnes déplacées, à qui font défaut denrées alimentaires, médicaments, logements, terres arables et autres moyens d'existence.
L'accès des personnes déplacées aux zones agricoles en dehors des camps est extrêmement limité en raison des restrictions imposées au mouvement par les Forces de défense du peuple ougandais.
Comme on l'a déjà dit, ces conflits ne pourront que s'intensifier avec le retour et la réinstallation d'une population nombreuse, et s'aviver encore en raison de la baisse de la productivité agricole et de la réduction considérable de la superficie des parcelles familiales.