2.En conclusion, le Liban souligne que la mondialisation est une conséquence naturelle de la percée du capitalisme libéral et des progrès technologiques.
3.Les éléments moteurs de la mondialisation sont le capitalisme et la concurrence sur le marché libre, la privatisation et la déréglementation ainsi que la maximisation des bénéfices.
4.D'autre part, les partisans de la mondialisation soutiennent que seul le capitalisme fondé sur le libre-échange a pu générer, jusqu'à présent, suffisamment de richesses au niveau mondial.
5.Les nouvelles politiques économiques ont essayé d'amener les peuples à croire que la mondialisation et le capitalisme néolibéral étaient la meilleure solution et l'unique option envisageable pour survivre.
6.L'échec du modèle capitaliste néolibéral ne saurait être plus flagrant, car les pays qui sont les plus opposés à l'intervention de l'État dans l'économie demandent des fonds publics pour sortir d'affaire.
7.Dans mon pays, à la fin des années 80, une série d'ajustements structuraux, élaborée sous l'influence des grands centres du capitalisme néolibéral, a occasionné un soulèvement populaire qui a paralysé le pays, laissant une marque indélébile dans la mémoire du peuple.
8.La crise économique et financière actuelle est la conséquence logique des contradictions inévitables du modèle capitaliste néolibéral, qui a, pendant des années, tenté d'imposer l'idée du marché comme autorité unique, idée défendue par certains pays et leurs institutions financières discréditées, qui sont maintenant forcés d'admettre la nécessité urgente d'une réforme radicale.