Selon l'IRPP, la loi qui visait à instaurer la neutralité et la tolérance religieuse dans les écoles publiques avait suscité controverses et intolérance.
D'après l'IRPP, le pays n'autorise pas la publication d'ouvrages religieux, ce qui a pour effet d'entraver considérablement la pratique religieuse des groupes minoritaires.
Selon l'IRPP, le Gouvernement prend des mesures visant à prévenir la distribution et la vente de tout objet comportant la représentation de symboles indésirables ou religieux.
L'IRPP a souligné que la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (MIVILUDES) avait contribué à la stigmatisation de certains groupes religieux en France.
L'IRPP indique que la Constitution des Émirats arabes unis institue une certaine protection juridique des libertés religieuses, mais que de nombreux obstacles en entravent l'exercice dans le pays.
L'IRPP ajoute qu'il existe au sein de la société des préjugés et une discrimination qui limitent la capacité des minorités à pratiquer leur religion et à exprimer leur foi.
L'IRPP souligne que la question des expropriations prononcées par le Gouvernement de la République fédérative socialiste de Yougoslavie à l'encontre de plusieurs communautés religieuses n'a toujours pas été résolue.
L'IRPP a mentionné que les pouvoirs publics roumains avaient manqué à leur obligation de protéger les communautés religieuses minoritaires contre le harcèlement et l'intimidation émanant de la population majoritaire du pays.
Selon l'IRPP, les organisations religieuses doivent être enregistrées pour obtenir un statut légal et d'autres droits, comme le droit d'édifier des lieux de culte et de tenir des services religieux publics.
L'IRPP a ajouté que les pouvoirs publics roumains n'avaient pas assuré la pleine restitution des biens fonciers appartenant aux cultes religieux, y compris aux églises gréco-catholiques, depuis la chute du régime de Ceaucescu.
L'IRPP signale en outre que les femmes qui choisissent de porter le niqab (voile ne laissant voir que les yeux) éprouvent toujours plus de difficulté à mener une vie normale dans leur pays.
Tout en reconnaissant que le Gouvernement ne prend pas part lui-même aux actes de violence dirigés contre les minorités religieuses, l'IRPP souligne que la police et les tribunaux ne font rien pour empêcher la montée de la violence.