Ces procédures reprennent les principes du droit international humanitaire concernant la nécessité d'éviter les souffrances inutiles et les dommages collatéraux.
Dans cette évaluation, l'adéquation des moyens et la nécessité d'éviter des dommages collatéraux (à l'homme et à l'environnement) sont dûment prises en considération.
Les opérations militaires aux dommages collatéraux excessifs et le bombardement de villages et de villes, d'hôpitaux et d'écoles sans défense sont fréquents.
Nous devons donc vite retrouver notre unité, pour éviter que notre Organisation souffre de lésions collatérales permanentes, en raison de la crise iraquienne.
Comme dans le cas des réclamations pour non-paiement, les requérants demandent à être indemnisés pour une diversité de frais spéciaux collatéraux au contrat.
Sans dommage collatéral, l'effet d'une arme sera maximal, dans la mesure où ce dernier sera effectivement concentré sur les seuls objectifs militaires visés.
La question des dommages collatéraux et des souffrances inutiles est prise en considération tant dans les règles d'engagement que dans les directives complémentaires.