En effet, une fois parvenu auprès d'Osiris, le défunt accède à une région remplie de terres cultivables afin que tous les morts bienheureux reçoivent leur nourriture pour l'éternité.
Pour les agriculteurs, la situation devient déjà critique, avec 60 % des terres cultivables asséchées par le manque de pluie, selon le principal syndicat de la profession.
Les terres régulièrement inondées par les eaux salées de l'océan ne sont plus cultivables et les nappes phréatiques sont également salinisées et donc impropres à la consommation.
Eh bien au milieu du XVIIème siècle, l'augmentation de la population dans la métropole oblige les maraîchers bruxellois à trouver des solutions pour accroître les rendements tout en utilisant le moins de terres cultivables possible.