Quelques pays, dont l'Allemagne, l'Islande et la Suède, ont étudié les facteurs d'ordre sexospécifique qui interviennent dans la toxicodépendance et ont tenté de les supprimer.
À la MINUK, par exemple, les membres du personnel ont organisé spontanément un groupe de soutien pour ceux de leurs collègues souffrant de toxicodépendance ou d'alcoolisme.