Les traumatismes crâniens causés par une collision avec le pare-choc ou le capot représentent 80 % des traumatismes graves dans les accidents impliquant des piétons.
Selon la presse française, les gendarmes, ayant " aperçu le canon d'une arme" au niveau du " pare-choc d'un véhicule" , ont procédé ensuite à une fouille plus complète.