Les Italiens naturellement, considérant, à juste titre, que Léonard de Vinci, c'est leur patrimoine, n’ont pas compris pourquoi la France organisait cette rétrospective.
Et ce qui est merveilleux avec cette rétrospective, c’est qu’on redécouvre la grande Marisol des années 60, mais aussi on découvre la Marisol moins connue.
Notamment un conservatoire du musée de Chicago qui s'appelle Kirk Varnaudo, va vraiment travailler sur Caillebotte et organiser, dans les années 1970, la première exposition rétrospective de son œuvre dans un musée.