Les longs préparatifs menés par les belligérants en vue d'une offensive majeure ont débouché, en juillet et en août, sur deux séries de violents affrontements.
Nous demandons instamment à ces États de limiter davantage le statut opérationnel de leurs armes nucléaires afin de promouvoir la sécurité et la stabilité mondiales.
Le Groupe a pris bonne note du nouveau degré d'organisation et de préparation de l'opposition lors des affrontements avec le Gouvernement fédéral de transition à Baidoa.
Nous voulons éviter une telle évolution de la situation, mais nous ne pouvons pas nous permettre de laisser faiblir notre vigilance et notre capacité d'intervention en cas d'urgence.
Dans le même ordre d'idées, si l'on veut aboutir à la paix, il faut se mettre dans les conditions de l'atteindre et non, comme dit l'adage, préparer la guerre.
La République tchèque estime que la tâche la plus fondamentale à l'heure actuelle consiste à maintenir l'unité et l'état d'alerte opérationnelle de la coalition internationale qui lutte contre le terrorisme.
La mise hors d'état d'alerte réduirait sans aucun doute le risque de conflit nucléaire en laissant plus de temps pour la communication et en évitant les malentendus ou les erreurs de calcul.
Les répercussions à long terme de la guerre et de ses préparatifs, qui sont désastreuses pour l'environnement, la santé et le domaine social, découlent également de l'idée que la guerre est légitime.