Selon ces informations, il existait deux principaux sujets de préoccupation, à savoir la révocation, l'an dernier, de 315 magistrats par décret exécutif et la large compétence attribuée aux tribunaux militaires.
Par ailleurs, les recommandations de la communauté internationale concernant la révocation des fonctionnaires sur la base de preuves ont souvent été ignorées ou cantonnées par des hauts fonctionnaires.