La table est éclairée de trois chandeliers puis sont déposées trois soucoupes de blé germé, appelées « sietoun » , marquant le renouvellement de la nature et l’espoir d’une année prospère.
Chaque soir, Kubilaï se faisait servir par six jeunes filles, qui sont renouvelées tous les trois jours parmi 100 concubines, toutes issues du peuple des Onggirat, particulièrement réputé pour sa beauté.