Parce que la Première ministre britannique, et ils le comprennent disent-ils, est sous pression face à son parlement, tout particulièrement sur le casse tête de la frontière.
Poursuivre les terroristes jusqu’en Syrie, aider l’opposition sans donner à Bachar El Assad une nouvelle légitimité reste un casse tête. Les conseillers de Barack Obama le reconnaissent.