Et d’un pas agile, l’œil au guet, observant les mouvements de l’ennemi, s’aidant de tous les accidents de terrain, d’Artagnan parvint jusqu’au second soldat.
Derrière nous, on a des paysages vallonnés qui sont en creux et en bosses, avec, dans les cuvettes, des zones humides, des zones humides particulières, ce sont des tourbières.
Quant à la plaine en elle-même, qu’on se représente un vaste terrain ondulant ; chaque pli domine le pli suivant, et toutes les ondulations montent vers Mont-Saint-Jean, et y aboutissent à la forêt.