Enfin, quand arrivèrent les simples vêtements de deuil que Charles avait demandés à Paris, il fit venir un tailleur de Saumur et lui vendit sa garde-robe inutile.
Ces vêtements avaient un inconvénient, ils « n’allaient pas » ; n’étant point faits pour ceux qui les portaient, ils étaient collants pour celui-ci, flottants pour celui-là, et ne s’ajustaient à personne.
Avant, par exemple, une comtesse allait voir un artisan qui fabriquait des robes et elle passait commande, elle lui disait exactement la robe qu'elle voulait et l'artisan faisait une robe sur mesure.