Si les quantités prévues sont effectivement importées, la consommation de céréales par habitant resterait à quelque 160 kilogrammes, ce qui est proche de la normale.
Elles demeurent résolues à assurer la libre circulation des envois, d'aliments, de produits alimentaires et de céréales alimentaires, ainsi que leur libre utilisation et distribution.
Ces deux dernières années, plus de 51 millions de dollars des États-Unis de céréales de base ont été importées, alors qu'elles peuvent être produites sur place.
À l'évidence, s'ils produisent les 1,2 million et que les 400 000 à 600 000 sont fournis, cela, ajouté aux 300 000, est légèrement supérieur à leurs besoins céréaliers.
Elles recevaient du Programme alimentaire mondial des produits alimentaires de substitution à base de maïs et de soja et des Talibans une ration de pain par jour.
La production céréalière de l'Érythrée reste inférieure aux besoins du pays dont on estime qu'ils sont de 500 000 à 600 000 tonnes; l'Érythrée dépend donc en grande partie d'importations commerciales.