En substance, le financement des nouveaux États insulaires du Pacifique cessait d'être une responsabilité des puissances coloniales pour incomber à la communauté internationale.
Récemment, la mobilisation des recettes fiscales publiques en Afrique s'est légèrement améliorée et la « désépargne » des gouvernements, alimentée par des déficits permanents, a été réduite.
La libéralisation du commerce pouvait être une source d'instabilité budgétaire, les recettes publiques de la plupart des pays africains étant très tributaires des taxes commerciales.
Par exemple, les taxes sur le commerce international représentent près de 6 % du PIB en Jordanie et sont une importante source de recettes financières.
L'emploi est supposé être une situation dans laquelle l'individu détient des ressources financières qui lui permettent de vivre et sécuriser sa vie dans le long terme.
Les autorités ont dû supprimer le plafond de revenu permettant l’accès à la propriété d’un appartement subventionné, selon une enquête récente de la revue d’investigation économique Caixin.
Les possibilités de mobilité spatiale des habitants sont, du fait d'un manque de ressources financières, très réduites, compte tenu de la « crise du logement », particulièrement en centre-ville.
Les gouvernements devaient trouver un équilibre entre l'utilisation d'incitations fiscales pour stimuler les investissements, y compris les IED, et l'obtention de recettes publiques provenant de ces industries.
Cette situation a eu des répercussions négatives sur le climat économique et social au cours du semestre sous examen, avec une baisse de 30 % des recettes fiscales.