Tomas Meyer est mon gendre, mentit Anthony avec un aplomb inébranlable. Il vit désormais aux États-Unis et je suis heureux de vous annoncer que je serai bientôt grand-père.
Maintenant, j'ai du travail, alors si personne d'autre que ce M. Meyer ne peut recueillir vos précieuses confidences, je vais vous demander de me laisser.
Tomas Meyer alias Tomas Ullmann, reporter pour le Tagesspiegel ; je pourrais parier sans grand risque qu'il travaille tous les jours avec ce petit salopard qui nous a raconter des histoires.
Dès leur réveil, ils iraient rendre visite au syndicat des journalistes, afin de vérifier si un certain Tomas Meyer était toujours en possession d'une carte de presse.
Aucune preuve n'avait pu établir la complicité de Tomas Meyer, et la candeur avec laquelle il parlait à l'indicateur des services de sûreté des projets de son ami indiquait sa probable innocence.
Et comme cette dernière remarque semblait enfin attirer l'attention de son interlocuteur, il ajouta aussitôt qu'il serait infiniment reconnaissant au syndicat de lui communiquer une adresse ou joindre ce M. Meyer.
C'est le Suisse Bertolt Meyer qui a servi de modèle pour cet androïde. Et pour ce socio-psychologue, lui-même équipé d'une prothèse de main depuis l'âge de 19 ans, cet alter ego bionique est tout simplement incroyable.
A l'approche des 100 jours de l'administration Trump, la popularité du président américain est en chute libre. Pour Alix Meyer, spécialiste des Etats-Unis à l'université de Bourgogne, la faute à l'amateurisme des premiers pas de l'équipe Trump
PL : Les réactions ont été nombreuses, ce mercredi, pour appeler tous les citoyens à porter la kippa en signe de solidarité avec les juifs, ce qu'on fait deux hommes politiques, Claude Goasguen et Meyer Habib, à l'Assemblée nationale.