Les pratiques traditionnelles telles que les ablations et mutilations génitales peuvent elles aussi exposer les filles au risque d'infection par le VIH.
La traite de personnes et certaines habitudes culturelles, comme l'ablation génitale, accroissent également la vulnérabilité des femmes à l'infection par le VIH.
Des évaluations de programme réalisées au Sénégal ont fait apparaître une diminution importante et soutenue du nombre de mutilations et ablations génitales féminines.
La pratique de l'excision qui consiste en l'ablation d'une partie des organes génitaux externes de la femme, est une coutume assez répandue en Mauritanie.
Les ablations et mutilations génitales féminines constituent une forme de violence irréversible et irréparable ainsi qu'une violation du droit des filles à la protection.
Des États ont adopté des lois et des plans d'action, et mené des campagnes d'information pour combattre les mutilations ou les ablations génitales féminines.
Les personnes qui ont subi une ablation du larynx à la suite d'un cancer du larynx deviennent physiquement handicapées parce qu'elles perdent leur capacité de s'exprimer vocalement.
Les États-Unis ont financé des projets visant à combattre les violences familiales et les mutilations ou ablations génitales des femmes dans plusieurs pays d'Amérique latine et d'Afrique.
On s'efforce de lutter contre la violence sexuelle et sexiste à l'égard des filles et des femmes et contre la pratique des mutilations et ablations génitales féminines.
Au Bénin et au Tchad, les campagnes de lutte contre les mutilations ou les ablations génitales féminines ont ciblé les filles à risque, entre 8 et 14 ans.
À Djibouti, en dépit des campagnes d'information, la tradition veut que les filles s'acquittent des tâches ménagères, soient mariées très jeunes et subissent des mutilations ou ablations génitales féminines.
Ainsi, qu'il s'agisse du viol, de l'atteinte à la pudeur, de l'ablation des organes génitaux, de coups et blessures et autres, les dispositions du Code pénal sont très répressives.
Neuf autres pays d'Afrique au moins ont proscrit les mutilations ou ablations génitales des femmes, à l'instar de certains pays d'accueil des populations immigrées, où ces pratiques ont cours.
Elle m'explique en fait que c'est l'ablation des grandes lèvres et du clitoris et je dis, mais non, c'est pas possible, parce que je m'en souviens pas et on m'a jamais fait ça.
Donc ça parle surtout d'une histoire d'amour en fait et sur comment assumer son corps aussi parce que après un cancer du sein, on a du mal à assumer son cœur, surtout quand on a fait une ablation.