Les communautés, particulièrement les communautés autochtones, se voient dans l'obligation de quitter leurs terres ancestrales sans aucune protection légale.
Qu'ils reprennent une tradition ancestrale ou explosent de manière improvisée, ces moments de joie partagée portent toujours en eux la contestation de l'ordre établi.
Le principe est une technique ancestrale puisque cela remonte à plusieurs milliers d'années avant Jésus Christ à l'époque de la Mésopotamie et ensuite ça s'est transmis de génération en génération.
C'était les plantes à fleurs, et se fut un pari réussi : leur croissance accélérée leur permit de vaincre les conifères ancestraux et de s'emparer des régions tropicales du globe.
Non, je crois que la fête telle que je viens de la définir reste une nécessité pour une ville, car elle ouvre la voie à une autre manière de vivre ensemble, qu'elle reprenne ou non une tradition ancestrale.