« On n’a pas le choix » qu’ils me disaient. « C’est obligatoire, on va se faire bouffer par les Chinois, on est obligés d’aller au JO pour avoir des marchés ».
On est plutôt ouvert d’esprit, mais bouffer ses propres oeufs parce qu’on a la flemme de descendre chercher à manger, c’est quand même difficilement excusable.
– Je pourrais en bouffer un, tellement j'ai faim. Je n'ai rien avalé depuis ce matin, emmène-moi dans un pub où l'on sert encore quelque chose à dîner.
Je suis contre car les ours ne nourrissent personne et ne fournissent de travail à personne, et s'ils bouffent les moutons des gens, ils n’auront plus de travail et donc pas d’argent.
On croquait ça sans pain, comme un dessert. Lui, en aurait bouffé toute la nuit, sans être incommodé ; et, pour crâner, il s’enfonçait un pilon entier dans la bouche.