Il faut admettre que Valéry Giscard d'Estaing écrit sans souci du qu'en dira-t-on littéraire, des convenances d'image politique, des précautions diplomatiques.
La misère secrète de son cousin lui faisait oublier la nuit, les convenances ; puis, elle était forte de sa conscience, de son dévouement, de son bonheur.