Avec cela, une adresse et une effronterie de singe, une drôlerie gouailleuse d’ouvrier parisien, pleine de bagou, charmante encore sur son museau jeune.
Je suis en train de lire sa biographie qui s'appelle M. Je-Sais-Tout, et dans une période hygiéniste, bien-pensante, ça fait un bien fou de le voir déblatérer des horreurs avec tellement d'humour et tellement de drôlerie.
Dans le Figaro, vous lirez Fabrice Lucchini qui est un musée à lui seul de citoyen de drôlerie. Nous allons vers lui, journalistes, pour conjurer l'ennui, il ne déçoit jamais. Pour le plaisir, cet échange avec son psy.