Georges Aoun : Il faut connaître quelqu’un, il faut avoir un proche dans la famille qui a fait des études de médecine. Notre objectif, c’est de démocratiser cet accès.
Éric Delvaux : Oui alors ce modèle du prêt-à-porter pour tous, il a certes démocratisé la mode, mais hélas, aussi, avec des conséquences insoupçonnées...
Dans les pays en voie de développement, ce droit se démocratise doucement, à l'image du Mozambique qui l'a dépénalisé en 2014, ou encore du Maroc qui a assoupli sa loi en 2015.
Il a parfaitement raison, sans doute, mais comme même quand on voit la société l'école avant 68 et aujourd'hui, elle s'est quand même ouverte, elle s'est démocratisé.
Aux Etats-Unis, premier pays à avoir démocratisé l'avion, on compte cinq hubs : Los Angeles, Denver, Dallas, Chicago et Atlanta, numéro 1 mondial, avec 104 millions de passagers en 2017.
Et notre but, c'est de démocratiser, de toucher les publics qui n'ont pas toujours accès à des formations prise de parole public, ils peuvent parfois être un peu chers.
Aux États-Unis - premier pays à avoir démocratisé l’avion – on compte cinq hubs : Los Angeles, Denver, Dallas, Chicago, et surtout Atlanta, numéro 1 mondial avec 104 millions de passagers qui y sont passés en 2017.
Et c'est un message que j'aime bien dans big bang theory, que on regarde en famille, avec ses amis et qu'on rigole, on rigole parce que ça dérange, attachant, c'est scientifique et ça démocratise beaucoup la physique quantique.