Cet état de choses suscite des tensions lorsque ces ressources sont particulièrement rares ou précieuses, comme le bois de chauffe, le fourrage et l'eau.
En outre, les forêts et les arbres constituent souvent des réservoirs importants de fourrage qui permettent de sauvegarder l'élevage pendant les périodes prolongées de sécheresse.
Elles englobent toutes les régions terrestres où la rareté de l'eau limite la production de cultures, de fourrage, de bois et d'autres services liés aux écosystèmes.
Selon le Kazakhstan, la baisse des concentrations d'azote dans le fourrage en diminuerait la teneur en protéines, d'où une diminution de la valeur nutritionnelle de l'alimentation du bétail.
Le Kazakhstan a indiqué qu'une baisse des concentrations d'azote dans le fourrage diminuerait la valeur nutritionnelle de l'alimentation du bétail, tandis que l'Arménie prévoyait une réduction de 30 % de son cheptel bovin.
Les ponctions s'accroissent sur ces écosystèmes en vue d'en obtenir des services comme l'alimentation, le fourrage, les combustibles, les matériaux de construction et l'eau destinée aux humains, au bétail, à l'irrigation et à l'assainissement.
Du fait qu'on manque de fourrage et d'eau et que des bêtes ont dû être vendues en catastrophe, les cheptels ont été réduits de 50 à 100 % dans tout le pays.
La seconde se situe dans le prolongement des mesures de réduction des risques et de préparation aux catastrophes; la mise à l'abri des fourrages avant des inondations en est un exemple.