Le plus probable est donc de voir une fragmentation de l'Assemblée autour de trois, quatre, voire cinq partis leaders qui obligeront le président à composer pour créer une coalition.
On nous dit qu'il s'agissait de bombes à fragmentation, qui explosent et projettent des éclats à des centaines de mètres autour. Mais les habitants ne paniquent pas, on est maintenant habitués. La guerre, c’est la guerre.