Il y a aussi le retard de consultation dans les centres de santé, et puis l’inutilisation et puis la mauvaise utilisation des moustiquaires imprégnées.
Eh bien, plusieurs facteurs se conjuguent : le manque de médicaments, une population appauvrie et affaiblie, le réchauffement climatique et le développement des marais à riz qui favorisent la reproduction du moustique, et un mauvais usage des moustiquaires.
De son côté, le Haut Commissariat des Nations Unies aux réfugiés (HCR) a déjà acheminé des articles de première nécessité depuis son entrepôt de Cotabato, à Mindanao, à Tacloban, notamment 1.400 kits contenant bâches en plastique, couvertures, moustiquaires, savon et sous-vêtements.