Les gens s’enlaçaient, les corps se nouaient l’un à l'autre, rien ne pouvait plus les défaire. Les gestes étaient intactes, parfois malhabiles mais toujours tendres.
Et il parlait haut, s'épanouissait au milieu de la fièvre collective, des pourboires royaux qui sonnaient autour d'eux et des intrigues qui se nouaient devant leurs yeux.