Mais cette fois, la crise n'est pas plus libanaise que le kebab est turc… Pour beaucoup de politiques libanais, cette démission a été faite sous la contrainte des Saoudiens.
Indiquant depuis Riyad, la capitale saoudienne, qu'il craignait pour sa vie et accusant l'Iran et le Hezbollah - un parti politique et groupe armé libanais - de tirer les ficelles au Liban.