Amnesty International ajoute que ces dispositions permettent de pratiquer une discrimination à l'égard des lesbiennes, des gays, des bisexuels et des transsexuels.
Il déplore toutefois que l'appel au dialogue d'organisations non gouvernementales de transsexuels et intersexuels n'ait pas été accueilli favorablement par l'État partie.
La CHA signale des actes de discrimination, de maltraitance et de violence sur des homosexuels, des travestis et des transsexuels dans les établissements pénitentiaires.
Concernant les droits des personnes homosexuelles, bisexuelles et transsexuelles, la Belgique a observé qu'une protection juridique existait pour ce qui était de l'emploi.
L'Association brésilienne des gays, lesbiennes, bisexuels et transsexuels (ABGLT) déplore publiquement l'absence de statistiques officielles et de recherches sur les victimes d'actes homophobes.
Les minorités sexuelles comme les communautés de lesbiennes, d'homosexuels, de bisexuels et de transsexuels, ont le droit de vivre sans souffrir de discrimination.
Cette dernière harcèle régulièrement les waria (transsexuels originairement masculins), ainsi que les personnes soupçonnées de pratiquer des relations sexuelles entre individus du même sexe.
La lutte contre l'épidémie chez les homosexuels, les hommes ayant des relations sexuelles avec les hommes et les transsexuels, est une autre priorité importante.