Une enquête sur les violeurs incarcérés a conclu que ces hommes n'avaient pas conscience de commettre un acte répréhensible lorsqu'ils violaient leurs filles.
La Chambre a estimé que Musema était personnellement responsable à la fois d'avoir lui-même commis un viol et d'avoir aidé et encouragé les autres violeurs.
Pour les experts c'est peut être la signature de groupes jihadistes. Ces derniers ont l'habitude de couper les mains de ceux qu'ils tiennent pour des violeurs.
Les faits se sont déroulés pendant seize ans avant que les autorités ne réagissent. Les trafiquants et les violeurs appartenaient à la communauté pakistanaise de la ville.