Nous attendons avec impatience le jour où les enfants du nord de l'Ouganda ne vivront plus dans la peur d'être enlevés et de subir toutes sortes d'atrocités.
Ignorantes de la loi, ces mères craintives abandonnent souvent la lutte à contrecoeur et supposent que rien ne peut être fait pour les aider parce qu'elles sont pauvres.
Ils doivent essuyer le plus fort et la brutalité des guerres, inquiets pour leurs vies et incapables d'imaginer quel pourrait être leur avenir, si jamais ils en ont un.
Aujourd'hui, tous les citoyens peuvent revenir chez eux, envoyer leurs enfants à l'école sans peur, cultiver des légumes dans leurs jardins pour nourrir leurs familles et engendrer des revenus.
La violence, jusqu'ici source de crainte dans les centres de personnes déplacées et dans les zones de conflit, s'infiltre dans les camps mêmes et touche directement les travailleurs humanitaires.
Mais, quoiqu'il fût au port, et précisément parce qu'il était au port, il ne se rappelait jamais sans inquiétude les chances diverses de sa vie politique, si longtemps alarmée et laborieuse.
Il est temps à présent de se concentrer sur les besoins et les intérêts des Somaliens ordinaires qui se voient privés de nourriture suffisante et de protection contre la peur ambiante.
Selon elle, le rapport est fondé sur les déclarations faites par «des habitants (terrifiés) du quartier et par un organisme gouvernemental qui fait partie du régime qu'elle a fui en premier lieu» (sic).
Après qu'elle ait confirmé en regardant, il y a plus de peur que de mal, la mère peut vaquer à ses activités, laissant l'enfant méditer sous les yeux de la table.
À sa grande joie elle trouvait l’air timide d’une jeune fille à ce fatal précepteur, dont elle avait tant redouté pour ses enfants la dureté et l’air rébarbatif.
Lorsqu’elle vit Coupeau hors de danger, Gervaise cessa de garder son lit avec autant de rudesse jalouse. Maintenant, on ne pouvait plus le lui tuer, et elle laissait approcher les gens sans méfiance.
Celle-ci était très contrariée de l’idée de son mari ; non pas que la pensée de voir Lantier demeurer chez eux la blessât ni l’inquiétât beaucoup ; mais elle se demandait où elle mettrait son linge sale.