En parallèle, la poursuite d'attaques contre des organisations humanitaires menées par des bandits lourdement armés a continué d'entraver considérablement les secours.
D'après des témoignages, les assaillants étaient armés de machettes, d'armes automatiques et de grenades et munis de torches et la plupart portaient l'uniforme militaire.
Selon les témoignages concordants de témoins oculaires et de victimes, lors de l'attaque de Kabingu, les assaillants auraient détruit par le feu de nombreuses maisons.
Il est nécessaire de lutter contre l'impunité en surmontant les obstacles à la traduction en justice des auteurs d'infractions et en renforçant les mesures de prévention.
Plus les armes et matières nucléaires sont nombreuses et plus grandes sont les chances de les voir tomber aux mains d'éléments indésirables, voire de réseaux terroristes internationaux.
En fait, les terroristes sont des hostes humani generis, c'est-à-dire des ennemis de toute l'humanité, et en tant que tels ils devraient être considérés comme des hors-la-loi.
Une survivante a dit que les assaillants l'avaient enfermée avec ses six enfants et 30 autres villageois dans une case dont ils avaient ensuite incendié le toit.
Dans la soirée du 19 février, à 20 heures (heure locale) environ, plusieurs Palestiniens armés ont attaqué une position des Forces de défense israéliennes près du village d'Ein Arik.
Les six escarpes, interdits et sombres d’être tenus en échec par une fille, allèrent sous l’ombre portée de la lanterne et tinrent conseil avec des haussements d’épaule humiliés et furieux.
On voyait aussi çà et là, dans cette multitude en proie à tant d’émotions violentes, mais nobles, de vrais visages de malfaiteurs et des bouches ignobles qui disaient : pillons !
Par exemple, dans les films policiers, un gangster peut dire à son chef: Le problème est réglé, et c'est un euphémisme pour faire comprendre qu'il a tué la personne qui posait problème.