L'analyse de ces coquilles en laboratoire permit de mettre en évidence la présence de DDT provenant des poissons contaminés dont s'étaient nourris les oiseaux.
La quantité de DDT présente dans le corps des ours polaires était bien plus importante que celle présente chez les poissons car plus l'animal est gros, plus le produit toxique s'accumule dans l'organisme.