Nos produits culturels restent exposés à la contrefaçon, et notre capacité à tirer avantage des progrès de la science et de la technologie demeure limitée.
Les multiples coquilles ont notamment été repérées par la Team Alexandriz, un groupe d'internautes qui met en ligne des versions de nombreux ouvrages téléchargeables illégalement.
Nous exigeons l'adoption d'un code international d'éthique sur la bioprospection, afin de prévenir la biopiraterie et de garantir le respect de notre patrimoine culturel et intellectuel.
En revanche, la «piraterie» sous forme de copie non autorisée d'œuvres musicales qui n'entraîne pas de «ventes manquées» n'est pas toujours synonyme de manque à gagner.
Une piraterie informatique généralisée avait quelque peu occulté cette question dans le passé, mais l'application plus vigoureuse des droits de propriété intellectuelle l'avait ramenée sur le devant de la scène.
Le secteur informel est aussi lié à la contrebande, qui représente 12 % des importations, ainsi qu'au piratage et à la contrefaçon, qui, selon les estimations, représentent 58 % de la production.
Comme la plupart des artistes, je suis très préoccupé par tout le phénomène Internet de piratage, de téléchargement illégal, de copie, et de tout le sens civique de la chose.