Immédiatement, le soupçon d’exploitation de détenus en faveur de l’élue de droite est repris par le journal l’Humanité ainsi que par des élus régionaux d’opposition.
Plusieurs internautes écrivent par exemple sur Twitter que l’ancienne ministre de la justice, Christiane Taubira, aurait interdit les fouilles des détenus, notamment en entrée et en sortie de parloir.