Les plans sous-nationaux ont été intégrés dans le onzième Plan de développement socioéconomique (2007-2011), assortis d'allocations financières nationales connexes.
La Nouvelle-Calédonie demeure toutefois lourdement tributaire des transferts financiers directs en provenance de France, qui représentent environ 30 % de son PIB.
Des crédits budgétaires ont été alloués aux projets prévus par la stratégie, que le Gouvernement prévoit d'appliquer en coopération avec des organisations non gouvernementales.
Cette viabilité est subordonnée à une combinaison appropriée des trois sources de revenus locaux : transferts interadministrations, recettes locales et aide de donateurs.
Le programme de construction et de transformation budgété sur les cinq prochaines années, pourtant important, de 800 000 logements, ne suffira pas pour combler le déficit.
De même, l'État accorde des financements publics aux différentes communautés religieuses et reconnaît des fêtes religieuses en tant que fêtes nationales pouvant avoir le statut de jour férié.