1.Dans le meilleur des cas, les presque 1,8 million de personnes déplacées qui vivent actuellement dans des camps resteront dans des établissements temporaires dans un avenir prévisible.
2.Il faudrait accorder plus d'attention aux besoins des femmes, des enfants et des handicapés, lorsque les familles doivent être réinstallées temporairement dans des camps ou des lieux loin de leur foyer.
3.Conformément à l'article 3 du règlement, le plaignant peut déposer sa plainte par écrit, oralement ou par courrier électronique au Ministère de l'intérieur, c'est-à-dire au département dont relève son lieu de résidence permanent ou provisoire.
4.Outre qu'il devait garantir aux personnes déplacées le droit d'habiter dans un lieu de résidence temporaire et de recevoir toute autre forme d'assistance, l'État avait l'obligation fondamentale de les aider à retourner vers leur lieu de résidence habituel.
5.Tout ceci dissuade les personnes déplacées de quitter leur résidence temporaire dans les villes, ce qui crée une pression additionnelle sur le nombre relativement peu élevé d'emplois disponibles et cause des difficultés aux services d'éducation, de santé et sociaux.