Les principaux biocarburants que l'on produit actuellement sont l'éthanol, en remplacement de l'essence, et les huiles végétales, en remplacement du gazole.
Dans certains cas, on peut passer du gazole au gaz naturel (par exemple, navires transbordeurs et navires de ravitaillement des plates-formes pétrolières en Norvège).
La Directive concernant la qualité des carburants fixe aussi des limites aux proportions des mélanges pour le gazole et l'essence, en invoquant des raisons techniques.
La péréquation par l'État des prix de l'essence est assurée par une taxe de péréquation, payée par les consommateurs sur chaque litre de gazole ou d'essence.
Ainsi, le gazole est largement subventionné dans la région, sans avantage direct pour les pauvres, que le gaz de pétrole liquéfié ou le kérosène concernent davantage.
Anadolu déclare également qu'elle n'a pas pu utiliser le navire affrété à Karaveli pendant cette même période, puisqu'elle n'a pas acheté la moindre quantité de gazole à l'Iraq.
Des politiques ont été élaborées en vue d'orienter la demande vers le gaz naturel plutôt que le gazole, en raison de ses aspects positifs pour l'économie et l'environnement.