Le représentant du Kenya déplore la résurgence du problème de l'immersion de déchets radioactifs dans le monde en développement, en particulier en Afrique.
Les stages d'immersion linguistique auxquels se sont inscrits plus de 800 demandeurs d'emploi ont profité à environ 51,5 % des bénéficiaires de sexe féminin.
On estime aussi que les effets de l'immersion de déchets dans une fosse ne s'étendront pas au-delà de celle-ci, les fosses étant géographiquement séparées.
La Convention de Londres vise à contrôler l'immersion en mer de déchets dangereux et d'autres déchets qui peuvent devenir un danger pour la vie marine.
En vertu de l'approche adoptée par le Protocole consistant à inverser la typologie, toute immersion est interdite, sauf pour les matières énumérées dans une annexe.