La destruction des infrastructures (routes, réseaux d'approvisionnement en eau, de distribution d'électricité, d'assainissement et de communication) s'est également poursuivie.
Finalement, la différence entre le pauvre et le riche tient à pas grand-chose : d'un côté, un pot de terre et une baraque en torchis qui vont se périmer.
Mais le défaut de la seconde conception de la restauration, eh bien c'est qu'on peut finir par ne plus rien oser toucher, avec le risque de voir des œuvres s'abimer et disparaître.
Alors que pendant des mois, avec une obscure ténacité, malgré la prison et l'exil, ils avaient persévéré dans l'attente, la première espérance suffit à détruire ce que la peur et le désespoir n'avaient pu entamer.