Je ne me soucie pas de le déranger. Je reviens vers l’Islandais. Celui-ci, ouvrant et refermant plusieurs fois la bouche, me fait comprendre sa pensée.
Cet impassible Islandais se dévouait avec un incompréhensible sans-façon, et, grâce à lui, plus d’un mauvais pas fut franchi dont nous ne serions pas sortis seuls.
Si on rajoute à ça le froid, le coût de la vie et les noms de volcan imprononçables ça commence à faire beaucoup pour ces pauvres Islandais qui n’avaient rien demandé à personne.