L'idée semble être un progrès substantiel des négociations, alors que Téhéran avait toujours refusé d'expédier ses matériaux fissiles en dehors du territoire iranien.
Depuis, Téhéran s'est progressivement affranchie d'un certain nombre de termes prévu par l'accord. Selon certains experts, le pays pourrait techniquement être en capacité de disposer d'assez de matière fissile pour fabriquer une arme atomique d'ici quelques semaines.