Diwali réunit certaines des plus grandes confessions religieuses du monde et nous donne l’occasion de célébrer nos valeurs communes de respect, d’inclusion et de pluralisme.
C'est ensemble que nous construirons un nouveau multilatéralisme fort, défenseur du pluralisme et de la démocratie, tandis que se lèvent les vents mauvais.
Cela ne sera évidemment possible qu'après l'instauration, dans les pays de l'est, du pluralisme des partis, d'élections libres, d'un système représentatif et de la liberté d'information.
Et puis de violence institutionnelle du fait de politiques publiques qui sont mises en places, en Hongrie, en Pologne, pour limiter le pluralisme, pour éviter l'indépendance du journalisme.
Et pour ça, l'état devrait, à mon sens, dans les négociations avec les chaînes, avoir beaucoup plus d'exigences sur le pluralisme, la qualité journalistique.
Mais ces phénomènes doivent se dérouler dans le respect du pluralisme et de la diversité de l'offre, qui sont d'ailleurs des principes garantis par la constitution.
Les citoyens liste moins sont moins inquiétés ou s'intéressent moins à ces questions qui sont évidemment essentielles du pluralisme comme condition de de la démocratie.
Suite aux élections fin 2014, le consensus entre les islamistes et leurs opposants nationalistes, qui ont remporté le scrutin, a renforcé le conservatisme et a gravement nui au pluralisme médiatique.
Vous ne pouvez pas dire aujourd'hui qu'on ne peut pas s'informer compte tenu de la variété, le pluralisme, la diversité des titres qui sont accessibles en ligne.
Mais dans leur mépris de la vie humaine, dans leur dédain du pluralisme, dans leur détermination à souiller les symboles nationaux, ils sont les enfants du même esprit impur, et c'est toujours notre devoir d'y faire face.
Ce phénomène de concentration des médias entre les mains de quelques grands groupes industriels et financiers soulèvent des questions liées au pluralisme et à la diversité de l’information, mais aussi à l’indépendance de ces médias vis à vis ceux qui les possèdent.