Mais je pense qu'on est encore à l'étape d'établir les scénarios puis de quantifier ça, et, je vous confirme, ce serait plusieurs centaines de millions.
On me dira, ce genre de personnes ne sont pas quantifier, mais c'est pas l'objectif pour nous, c'est de lutter contre les inégalités en matière d'accessibilité du savoir.
On peut quantifier donc les maladies, les maladies cardiovasculaires, le nombre des morts, on peut calculer l'espérance de vie, la mortalité infantile, la mortalité des femmes et cetera.
On peut quantifier donc les maladies, les maladies cardiovasculaires, le nombre des morts, on peut calculer l'espérance de vie, la mortalité infantile, de la mortalité des femmes et cetera.
Et s'il est difficile de quantifier la conscience, de la réduire à un chiffre, ou de quantifier la douleur, il est aussi très difficile de quantifier la qualité de vie.
Et ma première question, c'est tout simplement un an et demi après le confinement, est donc capable de quantifier, sur le marché de l'immobilier, les mouvements de population des grandes métropoles vers les villes moyennes ou les zones rurales?
Difficile à quantifier mais bien réel, l’effet Beyoncé – Jay-Z : les deux stars américaines ont mis le Louvre à l’honneur dans un clip vu 150 millions de fois à travers le monde, un sacré coup de pub !
Je veux dire par là que on a beau rire et on a raison de le faire, sur le fait qu'on ne peut pas quantifier le bonheur, ce qui reste évident, c'est qu'on peut qualifier le malheur.
On ne le voit plus, mais il persiste quand même dans notre environnement avec des effets délétères à long terme qui sont encore pas complètement quantifiés et qui peuvent être dramatiques.