2.Après avoir remanié le questionnaire, chaque pays a répété l'enquête auprès d'un échantillon de femmes appelant les téléphonistes qui participent au réseau afin de comparer les résultats avec ceux de la première enquête.
3.Celles qui travaillent dans ces secteurs sont cantonnées dans des emplois peu qualifiés et faiblement rémunérés, tels que le traitement des données ou des fonctions de téléphoniste, plutôt que dans des postes de cadres ou d'employées qualifiées.
4.Bon nombre des pays ayant fourni des données ont des réseaux téléphoniques anciens qui nécessitent de fréquentes interventions des téléphonistes et, partout dans le monde, les téléphonistes étaient traditionnellement des femmes, sauf dans des pays comme les États du Golfe où des interdictions d'origine culturelle empêchaient les femmes de travailler.
5.Après avoir élaboré un questionnaire commun pour les personnes qui appellent les téléphonistes participant au réseau, chaque pays a effectué une enquête auprès d'un échantillon de femmes qui avaient appelé les numéros de téléphone pertinents, afin de déterminer leur niveau d'information et leurs besoins dans les domaines liés à l'infection par le VIH et les autres maladies sexuellement transmissibles.