À Saint-Omer, ils firent souffler les chevaux la bride passée à leurs bras, de peur d’accident, et mangèrent un morceau sur le pouce tout debout dans la rue ; après quoi ils repartirent.
On fit une halte d’une heure pour faire souffler les chevaux ; Aramis solda son compte, plaça Bazin dans le fourgon avec ses camarades, et l’on se mit en route pour aller rejoindre Porthos.