Toutefois, les représentants des institutions financières ont fait des déclarations rassurantes, indiquant que les prochains changements n'auraient pas d'incidences défavorables sur les accords CFA.
Dans la zone CFA d'Afrique de l'Ouest, la deuxième dévaluation prévue du franc CFA n'a pas eu lieu parce que la croissance économique est restée positive.
Les répercussions sur les finances publiques sont importantes, avec une perte estimée à plus de 100 milliards de francs de la Communauté financière africaine (CFA).
Les fonds de contrepartie alloués par l'État à des projets de coopération avec des institutions des Nations Unies s'élèvent à 145 millions de francs CFA.
Par ailleurs, le fait que les capitaux circulent librement entre les deux régions, la zone du franc CFA peut être considérée comme une seule zone monétaire.
Il a pour mission d'aider à la création, au démarrage et au développement de petites entreprises dont le financement ne dépasse pas 10 à 15 millions de francs CFA.
Le FSD, d'abord appelé Fonds spécial de développement pour assurer l'accompagnement social de la dévaluation du franc CFA, s'adresse en priorité aux populations les plus vulnérables.
La cour de répression de l'enrichissement lui donne un mois pour justifier 694 milliards de francs CFA d'avoirs, c'est à dire un peu plus d'un milliard d'euros.