Le Rapporteur spécial fait aussi observer qu'une formation géologique doit toujours être superposée à une couche moins perméable pour pouvoir être qualifiée d'aquifère.
L'expression « formation rocheuse », qui était utilisée dans le deuxième rapport, peut donner à entendre que la formation se compose de roches dures et solides.
D'autres membres se sont interrogés sur l'utilité que présentait le membre de phrase «superposée à une couche moins perméable» dans la définition de l'aquifère.
Habituellement, les gisements de gaz naturel et de pétrole sont enfouis plus profondément que les eaux souterraines, ce qui rend difficile toute forme de comparaison.
Un système de forage par tube prolongateur permettra de forer dans des formations qu'il était difficile de forer avec les techniques de forage scientifiques traditionnelles actuelles.
En réalité, pratiquement tous les aquifères sont alimentés en eau d'une manière ou d'une autre car il n'existe sans doute pas de couches souterraines totalement imperméables.
La variabilité des propriétés mécaniques des terrains étant importante, il est indispensable de mieux connaître ces matériaux, avant de pouvoir formuler des conclusions définitives suffisamment fondées.
Après des années de pratique - à améliorer, est devenu applicable à tous les types de couches complexes et différentes méthodes de forage de matériel de forage.
En hydrogéologie, on entend en effet par aquifère captif un aquifère placé entre deux couches imperméables, ou presque imperméables, dans lequel l'eau est emmagasinée sous pression.
Dans l'alinéa a), le membre de phrase « superposée à une couche moins perméable » devrait être supprimé car il est superflu et risque d'être une source de confusion.
Deuxièmement, pour fonctionner comme un réservoir, la formation géologique doit être perméable et comporter au moins une couche moins perméable sous-jacente et une couche similaire souvent située au-dessus.
Mais toutes les découvertes de meules sont comme des déplacements mystérieux qui ne laissent quasiment pas de relations de la couche et des poteries enterrées pour les référencer.
Afin de préciser que la formation peut être constituée non seulement de roches, au sens courant du terme, mais aussi d'autres matières, on a opté pour l'expression « formation géologique ».
Le blanc commença à se dissiper. Une nouvelle fois, la croûte de quarante-cinq kilomètres d'épaisseur réaffirmait sa lourde présence : un temps sédimentaire.
L’Islande, absolument privée de terrain sédimentaire, se compose uniquement de tuf volcanique, c’est-à-dire d’un agglomérat de pierres et de roches d’une texture poreuse.
Il paraissait bouleversé, convulsionné par un exhaussement violent des couches inférieures. En maint endroit, des enfoncements ou des soulèvements attestaient une dislocation puissante du massif terrestre.
Que voulait dire le professeur ? Pouvait-il mesurer l’épaisseur de l’écorce terrestre suspendue sur notre tête ? Possédait-il un moyen quelconque de faire ce calcul ?
Il est probable que des affaissements du sol se sont produits, et qu’une partie des terrains sédimentaires a été entraînée au fond des gouffres subitement ouverts.
Mais cette tendance, peu marquée d’ailleurs, ne devait pas rassurer le professeur, car la nature des couches ne se modifiait pas, et la période de transition s’affirmait davantage.
D’où provenait ce bruit ? de quelque phénomène sans doute, qui s’accomplissait au sein du massif terrestre. L’explosion d’un gaz, ou la chute de quelque puissante assise du globe !
Parce que la vie animale n’a existé sur la terre qu’aux périodes secondaires, lorsque le terrain sédimentaire a été formé par les alluvions, et a remplacé les roches incandescentes de l’époque primitive.
Il n'était pas envisageable de procéder aux essais de cette superbombe dans l'atmosphère. Quant aux essais dans un puits souterrain, celui-ci devait être suffisamment profond pour éviter que de la roche ne soit expulsée lors de l'explosion.